6 millions de déportés, dont au moins 5 millions qui en sont morts; 1 million de morts uniquement à Auschwitz, 750 000 à Tréblinka. Des noms qui glacent le sang: Bergen-Belsen, Mauthausen, Strutthof, Sodibor.... Cette conjonction de chiffres et de lieux ont gravé dans le marbre l'une des plus horribles périodes traversée par l'Humanité. Alors crise sanitaire ou non, il s'agissait de raviver la mémoire de ces martyrs d'un système institutionnalisé comme une véritable industrie de la mort, du meurtre plutôt.
Réunie en comité restreint (dont Jean-Marc Tellier, maire, Jean Létoquart, 1er adjoint, et Cathy Poly-Apourceau, sénatrice du Pas-de-Calais mais aussi des représentants des unions et fédérations des déportés et internés) l'assistance n'a pu marquer ce souvenir que par un dépôt de gerbe devant le monument dédié. Faute de discours, vous pourrez néanmoins lire le message rédigé conjointement pour l'occasion par la FNDIRP, la FMD et l'UNADIF-FNDIR ci-dessous..
